Le Jardin de Thérèse Colombel à Fouesnant (29)
On ne présente plus le mari de Thérèse, Marc Colombel, éminent spécialiste des rhododendrons, expert reconnu au niveau mondial. D’ailleurs à l’entrée du jardin, tout contre la maison, un rhododendron broughtonii, un géant de 8m (…et encore, amputé d’un tiers par une tempête…nous fera remarquer Thérèse), était en pleine floraison ce matin d’avril. De quoi être impressionnés. Ce sujet extraordinaire planté là bien avant l’installation des Colombel serait à l’origine dit-on de la passion de Marc depuis les années 80 pour les rhododendrons.
Thérèse se fait plus discrète… et pourtant. Elle aussi est devenue au fil des années une experte reconnue au niveau international, dans un domaine végétal bien différent : celui des plantes alpines et de rocaille, pour lesquelles elle a développé une passion et des connaissances très « pointues ». Son attirance toute enfant pour la montagne en fut l’inspiration première.
Pour créer son jardin personnel sur la façade sud, l’ancienne longère une fois restaurée, les Colombel ont charrié à l’époque des tonnes de pierres récupérées chez un agriculteur et transportées …dans leur Renault 4L et remorque. Thérèse a ensuite disposé ces blocs (eh oui elle-même !) pour créer du relief et des pentes en conservant des affleurements rocheux. Ce relief assure un bon drainage aux plantes qui détestent l’humidité hivernale. Elle a aussi disposé quelques acer palmatum nains sur les buttes pour procurer de l’ombrage à celles qui ne tolèrent pas le plein soleil.
Ensuite Thérèse a introduit une multitude de plantes alpines et de rocaille ainsi qu’une collection de conifères nains tout à fait exceptionnelle. Nombre de plantes alpines étaient en fleurs lors de notre visite et pleines de couleurs : des gentianes de ce bleu intense incomparable, des rhodohypoxis (une plante vivace originaire des prairies d’Afrique du sud, de différents tons de rose et qui s’étale en tapis), des iris innominata, iris nains (20cm) que Thérèse avait découverts aux USA non loin de la frontière canadienne. Les couleurs en sont variables, du jaune veiné de pourpre. Elle attend patiemment les nouvelles fleurs pour découvrir parfois de belles surprises. Thérèse repique, divise, remanie au gré de ses envies. Son jardin est tenu « au bouton », ôtant toute adventice avec deux doigts (« ma pince comme elle dit ») chaque jour dès l’apparition de n’importe quelle plantule.
Chaque conifère nain (provenant au début d’Angleterre, des Pays-Bas, puis de Pologne …) est soigneusement étiqueté. La curiosité insatiable de Thérèse et son infatigable activité jardinière (qu’il pleuve, qu’il vente toute l’année, toute la journée…) ont abouti après 40 ans de recherches et de contacts – en Europe et au-delà- à ce qu’est son jardin aujourd’hui : épatant, suscitant l’admiration. Un jardin de collection botanique qui fait référence : des spécialistes viennent découvrir chez elle des spécimens très rares.
Au cours de la visite Thérèse ne nous cachera pas son âge d’un regard pétillant de malice, 91 ans aujourd’hui. « Bon pied, bon œil ». Avec humour, elle accompagnera d’anecdotes notre découverte de son jardin et nous précisera qu’elle continue bien sûr à déplacer des pierres avec sa barre à mine dès qu’elle le juge nécessaire. « Ah ! une pierre a bougé » remarque alors Marc Colombel.
Nous ne pouvions clôre cette visite sans nous glisser justement dans l’autre jardin, celui de Marc et en sa compagnie. Il nous a montré in situ son travail d’hybrideur, de la pollinisation et du semis aux rempotages successifs des jeunes plants. Il nous a décrit le sens de ses recherches, rapporté ses déceptions comme la fierté de ses réussites. Il faisait très beau ce jour d’avril et nous avons profité du lieu pour déjeuner d’un pique-nique avec Thérèse et Marc. Marc nous offrant de déguster le réputé cidre de Fouesnant.
Que tous deux soient infiniment remerciés.
Assurément nous nous souviendrons de la visite de leurs deux univers.
Date : 27 avril 2022
Photos / texte :
Propriétaires :
Thérèse et Marc Colombel
29170 Fouesnant
Ce jardin privé n’est pas ouvert à la visite.
Euphorbia Hypercifolia Diamond Frost
Plante du mois avril 2022
Cette plante est un hybride issu de plantes venues des zones tropicales américaines (et notamment de Colombie).
Nom latin : Euphorbia hypercifolia ‘Diamond Frost’
Autres noms : Euphorbia hypercifolia ‘Inneuphdia’, Chamaesyce hypercifolia, Euphorbe à feuilles de millepertuis
Création : Entreprise KIENTSLER ayant produit cet hybride spontané en Europe
Famille : Euphorbiacées
Caractéristique : Feuilles délicates d’un vert profond
Confusion possible : Euphorbia hypercifolia ‘Diamond Snow’, à la floraison et au feuillage plus denses
Végétation : Couvrante, port buissonnant
Croissance : Lente
Dimension : 30 cm de haut, 40 cm de large
Feuillage : Semi-persistant (feuilles qui jaunissent et tombent sous les 10 °C)
Floraison : Nuage de petites fleurs blanches
Rusticité : Vivace qui ne supporte pas le gel et arrête de fleurir en dessous de 10°C
Sol : Riche, drainant, de légèrement basique à légèrement acide
Exposition : Soleil ou mi-ombre mais à rentrer dès qu’il fait moins de 10 °C
Soin : Plante résistante aux maladies et peu exigeante (mais à arroser assez régulièrement)
Rempotage : au printemps
Date : avril 2022
Photos / texte : Thierry P
Le Jardin de Treuscoat à Scaër (29) en 2018 et 2022
Liliane et Alex ont créé un jardin d’une richesse botanique inattendue. Bien sûr ils aiment passionnément Rhodo et Azalées qu’ils hybrident depuis de nombreuses années, mais ils ont aussi ponctué leur grand jardin de nombreux Hydrangeas et d’arbustes et arbres dont certains à intérêt automnal : Camellias, Cornus, Heptacodium, Styrax, Hoheria, Quercus, Acer…L’on passe d’une prairie en pente à un espace engazonné structuré par de nombreux massifs puis un sous-bois conduit à un univers où le minéral entre en scène avec allées et chaos de granit, murets de pierres et rocailles…Une atmosphère tout en sobriété et calme avec un brin de mystère !
Date : 19 septembre 2018
Photos / texte : Pierrette G et Bidou
Nouvelle visite en 2022
Alex et Liliane Le Duigou nous ont magnifiquement reçus et accompagnés l’après-midi de ce 27 avril très printanier, parcourant ensemble le surprenant parc de 6 ha qu’ils ont réalisé en … seulement 20 ans. C’est peu dire qu’ils ont entrepris sa réalisation à quatre mains, on devrait dire à quatre bras tant les travaux ont été colossaux.
De l’intense programme de plantations au charroiement d’une quantité considérable de pierres de granit pour mettre en place de beaux murets de pierre et l’une des plus belles réussites du parc : la superbe allée empierrée et moussue qui grimpe à flanc de coteau dans le sous-bois, « la grande rocaille » ainsi qu’ils l’ont appelée. Nombreux parmi nous ont exprimé leur enthousiasme devant cet aménagement subtil qu’on pourrait croire « naturel ».
Le parc de Treuscoat séduit pour beaucoup de raisons. D’abord par sa conception originale sur un versant (une ancienne prairie et un bois en contrebas). Tout a été réfléchi en fonction des arbustes à mettre en valeur. Aux espaces largement ouverts succèdent des coins plus intimes, puis de nouvelles perspectives et des échappées. On peut ainsi à sa guise prendre du recul afin d’apprécier les volumes, les harmonies de couleurs, les accords et les contrastes des associations d’arbustes. Ou bien s’approcher afin d’observer en détails les feuillages, les écorces, les fleurs dont de nombreuses parfumées…
Au fur et à mesure de la visite on se rend compte du nombre époustouflant d’arbustes, espèces et variétés rares qui ont été ici plantés. C’est justement ce que recherchaient Alex et Liliane en créant leur parc : introduire et cultiver tous ces végétaux qui les passionnent et qu’ils ne pouvaient planter dans le jardin de leur maison, faute de place (un jardin de 6.000 m² tout de même). Et c’est une réussite ;
En cette saison nous avons pu comparer les nuances entre les fleurs de plusieurs magnolias de printemps (Daphné, Butterfly…), admirer de nombreuses espèces de cornus, de viornes, plusieurs variétés de grandes azalées mollis, découvrir un bon nombre de plantes parfumées, remarquer les associations tout en douceur des arbustes en fleurs. (La floraison des camellias était terminée). Tant d’autres arbustes sont rassemblés dans ce parc : clerodendron, hoheria sextylosa, stuartia, fothergilla…On ne saurait citer tous les genres et toutes les espèces. (Les collections sont détaillées sur leur site: www.jardin-des-korrigans.fr )
Et tant et tant de rhododendrons rares qu’ils chérissent particulièrement (plus de 800 espèces et variétés) : ont été remarqués entre autres de déjà grands rhododendron arboreum (l’espèce peut atteindre 12m…), le rhododendron excellens, une espèce rarissime aux grandes fleurs en trompette blanches très parfumées, l’étonnant rhododendron dauricum à légères fleurs roses, originaire des montagnes de Mongolie, nord de Chine et l’ile d’Hokkaido au Japon…, le rhododendron triflorum à petites feuilles et fleurs jaune primevère qui s’est ici bien développé…
Alex et Liliane aiment aussi hybrider les rhododendrons. Ils cultivent et présentent ensuite dans leur parc leurs meilleurs hybrides (une quinzaine est officiellement répertoriée).
Des masses compactes de tous ces arbustes émergent et s’élancent de petits et grands arbres caducs et persistants aussi subtilement choisis : de très nombreuses espèces de chênes et d’érables, un superbe ptelea trifoliata (ou orme de Samarie, de la famille des citrus, très parfumé), métaséquoia, mélèzes, nothofagus, paulownias, pterostyrax, eucalyptus… Leurs dimensions (à 20 ans seulement rappelons-le) nous ont vraiment surpris. « Et jamais arrosés » soulignera Alex (hormis bien sûr à la plantation).
Nous avons « bombardé » Alex et Liliane de questions auxquelles ils ont répondu avec beaucoup de précisions. Leur grande expérience est très précieuse… La visite de Balades et Jardins s’est délicieusement terminée par un goûter champêtre offert avec beaucoup de gentillesse par Alex et Liliane. Un grand merci à eux.
Le Parc botanique de Treuscoat encore peu connu est à découvrir.
Il est ouvert tous les week-ends l’après-midi d’avril à septembre (par mail)
Date : 27 avril 2022
Le Jardin de Treuscoat
Propriétaire(s) : Alexis et Liliane Le Duigou
Treuscoat Hec’h – 29390 – Scaër
Tél : 02 98 59 48 31
Mail : liliane.leduigou@orange.fr
Site :.www.jardin-des-korrigans.fr
Conférence : Jouer avec les plantes : idées et solutions bio-inspirées par Didier Willery
Ceci est une fiche de présentation de la conférence
Présentation de l’intervenant :
Didier Willery est auteur de nombreux livres de jardins et collabore à plusieurs magazines, français et étrangers. Il est aussi responsable éditorial aux éditions Ulmer. Il cultive et photographie beaucoup de plantes dans son propre jardin, mais également dans le célèbre jardin de la Princesse Sturdza, le Vastérival en Normandie, dont il assure désormais le suivi des collections et le développement. Il est également président de plusieurs Jurys internationaux.
Présentation de son intervention :
Ce samedi, Didier Willery se propose de mettre en évidence des observations simples, dans la nature ou au jardin, qui permettent de mieux utiliser et associer les plantes pour faciliter la vie du jardinier (limiter le travail, les arrosages, les traitements, les engrais, le tuteurage, simplifier la taille, etc.), tout en ayant un jardin beau et productif toute l’année. (et même sur un petit espace!)
Il abordera les principes d’associations végétales, puis comment utiliser/tirer parti de chaque type de plantes : annuelles, bisannuelles, grimpantes, arbres, arbustes, vivaces aromatiques, graminées, comestibles (feuilles, fruits, etc) pour le meilleur et sans le pire…
Date : 9 avril 2022
Le Jardin La Vallée des Bambous à Plougonver (22)
La « Vallée des bambous » est un parc botanique de 8 ha, situé dans le vallon du Léguer, classé zone naturelle protégée de la commune de Plougonver. Josiane et Gilbert Cudennec, d’abord passionnés d’oiseaux de collection, ont dès les années 1980 choisi de planter des bambous dans le but de créer un espace de nidification rassurant pour leurs oiseaux que l’on découvre tout au long de la visite, des cygnes blancs, des paons bleus ou blancs, des grues couronnées, des canards, etc…
Petit à petit, la passion des bambous les a gagnés puis celle des fougères dont les arborescentes, et enfin celle des plantes rares. Ils ont beaucoup voyagé, au Chili, en Afrique du sud et en Chine, pour rechercher des plantes originales adaptées au climat breton.
La visite de leur parc commence aux abords de leur habitation où un magnifique Dicksonia antartica attire notre regard. Nous longeons un petit bassin bordé de quelques plantes exotiques puis nous arrivons dans une clairière entourée de bambous. Un chemin nous fait découvrir un bambou grimpant de plus de 15 mètres de haut, le Chusquea valdivensis, originaire du Chili.
Puis nous découvrons une petite prairie contenant de nombreuses raretés : comme ce petit bambou en fin de floraison, le Chusquea parviflora, récolté par Gilbert Cudennec au sud de Valparaiso et un Wollemia nobilis, un pin en voie de disparition découvert récemment.
Nous descendons ensuite un chemin escarpé menant à une agréable pièce d’eau, quelques fougères arborescentes agrémentent le lieu. Nous longeons les rives du Léguer et remontons par une autre allée bordée d’arbustes variés, Phylliria, érables japonais, cotinus, etc…
Enfin nous revenons au sanctuaire des bambous, le Phyllostachys vivax et ses nervures jaunes et vertes alternées, le Chimonobambusa tumidissinoda et ses nœuds renflés et le Phyllostachys edulis aux qualités mécaniques exceptionnelles, puisqu’il est largement utilisé en Asie pour dresser des échafaudages ou comme fer à béton. Suit un enclos de bouleaux de collections aux écorces variées.
La « Vallée des Bambous, mais pas que… » est très agréable à visiter, c’est d’abord un parc où l’on se sent bien, la disposition des différents espaces est subtilement équilibrée avec des alternances de clairières, de chemins plus ou moins escarpés, de pièces d’eau, d’une prairie et d’une rivière, mais c’est aussi un lieu avec plus de mille plantations où les botanistes et les amateurs de jardins d’ornements découvrent des trésors.
Félicitations à Josiane et Gilbert Cudennec qui ont su utiliser un site géographique favorable au développement des plantes et aussi s’entourer de grands botanistes comme Jean-Pierre Demolly.
Merci à eux pour leur sympathique accueil.
Date : 26 mars 2022
Photos / texte : François L
La Vallée des Bambous
Gilbert et Josiane Le Cudennec
11 Kergalaon – 22 810 Plougonver
bamboazos.pagesperso-orange.fr
Andromeda Polifolia Blue Ice
Plante du mois mars 2022
Cette plante d’origine horticole a été créée au Canada. Elle est une parente de l’Andromeda Polifolia poussant à l’état sauvage dans nos montagnes, cette dernière étant une plante protégée.
Nom latin : Andromeda Polifolia Blue Ice
Autres noms : Romarin des tourbières, Andromède à feuilles de podium
Origine : Canada
Famille : Ericacées (comme les bruyères et les rhododendrons)
Caractéristique : Feuilles bleues vertes argentées au port plat
Confusion possible : Andromeda Polifolia Nikko, aux feuilles vert émeraude allant plus vers le ciel
Végétation : Arbustive, couvrante
Croissance : Lente
Dimension : 30 cm de haut, 40 cm de large
Feuillage : Persistant
Floraison : Abondantes petites fleurs roses en grelots
Rusticité : Plante des ubacs montagneux qui peut résister à des températures allant jusqu’à – 40 °C
Sol : Riche, drainant, frais ou humide, plutôt acide (terre de bruyère) (surtout pas calcaire)
Exposition : Mi ombre à ombre (surtout pas plein soleil)
Soin : Plante résistante aux maladies et peu exigeante (mais à arroser en cas de forte sécheresse)
Mellifère : Oui
Multiplication : Bouturage à l’abris du vent
Date : mars 2022
Photos / texte : Thierry P
Justicia floribunda
Plante du mois de février 2022
Cette plante doit son nom au botaniste écossais James JUSTICE (1698-1763). Après avoir été prisée par les Britanniques au XIXe siècle, elle se fit plus discrète avant de redevenir à la mode en France depuis les années 2000.
Nom latin : Justicia floribunda
Autres noms : Libonia rizzinii, Jacobinia pauciflora
Origine : Bolivie, Brésil
Famille : Acanthacées (comme les crossandras et les ruellias)
Végétation : Arbustive
Hauteur : 60 à 80 cm
Feuillage : persistant
Floraison : Abondantes petites fleurs jaunes et rouges
Rusticité : Ne résiste pas au gel et préfère les températures au-dessus de 5 °C
Sol : Riche, drainant, neutre à légèrement acide
Exposition : Mi-ombre à ombre
Soin : arrosage régulier (le sol devant être toujours légèrement humide)
Multiplication : semis, bouturage
Période de plantation : printemps, été
Intérêt : floraison qui dure du début décembre à fin mars
Date : février 2022
Photos / texte : Thierry P
Tetrapanax Papyrifer
Plante du mois de décembre 2021
Nom latin : Tetrapanax Papyrifer
La plante aux quatre remèdes, la plante à papier de riz. Elle est cultivée en Chine pour ses vertus thérapeutiques et fut utilisée pour la fabrication de papier.
Une semi-vivace remarquable par ses grandes feuilles élégamment nervurées et son inflorescence à l’automne. Elle habille agréablement les massifs
Autres noms : fatsia papyrifera, aralia papyrifera
Origine : Asie, Chine Japon
Famille : araliacée, cette famille comprend les aralias, fatsias, le brassaiopsis, le lierre
Hauteur 2 à 4 mètres
Feuille très grande feuille caduque suivant le climat,
Floraison grande inflorescence à l’automne
Rusticité – 10°C,
Sol : sol riche en humus bien drainé,
Exposition : soleil mi-ombre, à protéger du vent qui peut abimer les feuilles,Soin : arrosage la première année,MMultiplication : semis, bouture, division des touffes,
Intérêt : feuillage exceptionnel, croissance rapide !
Photos et texte: François L
Conférence : Les femmes et leur jardin par Bidou
Ceci est une fiche de présentation de la conférence
Comment aborder la connaissance des jardins sous un angle nouveau ?
Voilà qui a sans doute constitué une forte motivation pour Bidou, présidente de notre association, lorsqu’elle proposa il y a quelques mois que nous nous intéressions aux femmes et à leur jardin.
La programmation de cette intervention, contrariée en 2020 par les circonstances que nous connaissons, est désormais possible, le 11 décembre.
Nul doute qu’avec son habituel et enthousiaste engagement, Bidou saura nous faire découvrir ce qui, subtilement, dans la conception de nos jardins, est issu d’idées portées par des femmes, célèbres ou non, elles-mêmes créatrices de jardins et passionnées !
Date : 11 décembre 2021